Découvrez algeria disrupt
Le programme Algeria Disrupt est un cadre juridique et règlementaire dont le but est de promouvoir les startups et accélérer leur croissance, le programme introduit également un nouveau fonds d’investissement publique dédié aux start-up, ainsi qu’un accélérateur de startup « A-venture »
Le label "startup"
Le label startup est un document institutionnel qui vous servira de « passeport » pour accéder à toutes les facilitations que l’état met à disposition des startups, vous ne pouvez avoir ce label que si vous avez déjà créé votre société et que vous répondez à un certain nombre de critères
Le label projet innovant
Le label « projet innovants » s’adresse aux porteurs de projets n’ayant pas encore créé leur société, il permet au même titre que le label « startup » d’accéder à des avantages
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Label "startup"
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Âge
Innovation
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Chiffre d'affaires
Capital social
Taille
Algerian startup fund
ASF est une société publique de Capital risque, qui prend en charge le financement en charge le financement des entreprises disposant du label Startup, en fonds propre et en quasi-fonds propre
ASF est née de la collaboration du ministère des Startups et des 6 banques publiques
Rencontres startups meetups
Les rencontres Startup Meetup sont des rencontres organisées chaque jeudi au siège du Ministère des Startups et de l’économie de la connaissance avec les startups et les porteurs de projets innovants
Découvrez l'accelerateur "algeria venture"
les structures d’accompagnement (incubateurs/ accelerateurs) jouent un rôle important dans l’écosystème, pour cette raison nous avons décidé de créer un réseau d’accélérateurs de Startups en : Algeria venture, en abréviation A-venture
Pourquoi A-venture ? Parce que l’entreprenariat est avant tout… une aventure
Soyez informés dés son lancement
Foire aux questions
Afin d’avoir un cadre règlementaire dédié aux startups, leur permettant d’accéder à des facilités (fiscales, para-fiscales et autre) créer un statut spécifique à la startup est un choix qui s’est imposé de lui-même au fil du temps.”
Une startup est avant tout une entreprise innovante, cette innovation n’est pas forcément technologique, nous parlons là de l’innovation dans toutes ses formes (architecturale, disruptive ou radicale) le caractère innovant doit permettre de gagner à terme un avantage concurrentiel.”
Ce cadre réglementaire n’intéresse pas les entreprises déjà bien établies quand bien même elles proposeraient un service ou produit innovant, l’une des différences fondamentales qui sépare les « startups » des entreprises classiques est le caractère temporaire de leurs organisations.”
L’indépendance des porteurs de projets est une condition essentielle, une grande entreprise qui créerait une filiale proposant un service ou produit innovant ne peut être considérée comme une startup.”
Pour atteindre la croissance « exponentielle » tant espérée, le produit d’une startup doit s’adresser à un marché suffisamment grand et homogène, en démontrant une capacité de s’adapter avec l’augmentation du volume d’activité.”
Afin d’éviter tout conflit d’intérêt, et d’avoir en même temps un comité qui soit pluridisciplinaire (car beaucoup l’oublient mais les startups n’activent pas que dans le secteur du numérique) le choix d’un groupe d’experts désigné par des ministères s’est lui aussi imposé de lui-même, toutefois, il est important de mentionner que ces représentants ne sont pas « des administrateurs », en effet, comme le précise l’article 4 : Les représentants de chaque ministre doivent justifier d’une expérience professionnelle suffisante dans les secteurs de l’innovation ou des nouvelles technologies, de plus, en plus des membres permanents, le comité peut également recourir à toute personne externe pouvant l’aider dans sa mission (art 5)”
Non ! La procédure de labélisation se fera entièrement en ligne sur une plateforme qui sera rendue accessible dans les jours qui viennent.”